mercredi 13 octobre 2021

لاجل اقتصاد تضامني .. pour une écon d'entraide

 اللهم يا رب كن في عوني

 Dr.H.T

juste à ce moment : nous sommes au niveau de mon travail UN MONDE ORGANISE...mais notre bonne volonté aime bien s'avancer pour bâtir un modèle de politique économique (non précédé bien
sûr) dans un effort prochain que porte le titre UN MONDE POLITIQUE .. un projet pensé depuis les années 1980 comme suivant mon premier effort économique ; qui dans ses premières intentions de parler du VRAI PRINCE (autrement dit : ETAT) vu par nous ; ses obligations et ses droits et ses instruments et ses objectifs …Dr.H.T.



نعم انتهى بي تحريري الرياضي لنتيجة متناسقة مع مثال "هارود-دومار" ولكن من غير ان اتبع نفس مخططاتهم ...كما يمكنك التثبت من عملنا في الفصل 5 من كتابنا "نظام الملك" محبرا بالعربية و الفرنسية .. ويعجبني تقرير اتفاقي مع بعض من حيثاته .. بل تثبتها رياضياتي القيمية .. كما يؤسفني ان لا اتفق تمام الاتفاق مع السيد روبار سولو .. بل عندي الكثير من الاحترازات عليه...والانتقادات
ولتعلم ان عملي ثمرة توفيق من الله .. لا يفسر الا : رده الى الله.. فكل من يعارضني : انما هو ينتقد صنع الله الذي اتقن كل شيء صنعة سبحانه وتعالى ..
اما انا فقد رددت الفضل لله سبحانه وتعالى.. وانت حر في فكرك ومعتقدك
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وجيد عندي دعوتك بحث مسالتنا في "قووقل".. خذ مثلا موقع موسعة "ويكيبيديا" ..ابحث فستجد ما يشفي الغليل...
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Modèle de Harrod-Domar
Le modèle Harrod-Domar est le premier modèle économique formalisé de la croissance. Ce modèle a ouvert la voie aux modèles modernes de la croissance, en particulier au modèle de Solow. Le modèle Harrod-Domar vise à étendre sur la longue période la Théorie générale de Keynes, qui ne portait que sur le court terme. Tout comme la Théorie générale, le modèle de Harrod-Domar vise à faire ressortir le caractère instable de la croissance économique, et la nécessité de l'intervention étatique. Dans le modèle Harrod-Domar, rien ne garantit qu'une économie soit sur un sentier de croissance stable.
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Le modèle de Harrod-Domar et l'économie du développement
Conçu initialement comme un modèle du cycle des affaires, le modèle de Harrod-Domar a exercé une importante influence sur l'économie du développement durant les Trente Glorieuses2. Dans la mesure où la productivité du capital (égale à {\displaystyle 1/k} {\displaystyle 1/k}) était supposée à l'époque constante, car dépendante de paramètres technologiques, le modèle suggérait que le seul moyen pour un pays en développement d'accroître son taux de croissance passait par une augmentation de son épargne. L'épargne privée étant insuffisante dans les pays en développement, seule l'aide étrangère et l'État, par une politique d'excédents budgétaires, pouvaient accroître le taux d'épargne de l'économie, finançant ainsi un taux d'investissement plus élevé. Toutefois, comme le soutient Bhagwati, le développement dépend plus de l'accroissement de la productivité du capital que de l'accroissement du taux d'investissement. Par ailleurs, rien ne garantit que l'aide étrangère se traduise par un accroissement identique de l'investissement : elle peut provoquer une baisse de l'épargne privée et de la productivité du capital.
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Limites du modèle
Pour Harrod et Domar, la croissance est toujours "sur le fil du rasoir" (Harrod) : elle est fondamentalement instable, et peut s'accompagner d'un chômage durable. Seul l'État est à même de stabiliser le sentier de croissance de l'économie, en régulant la demande globale. Dans ces conclusions, on perçoit le pessimisme qui habite les auteurs, qui écrivent au lendemain de la Seconde Guerre mondiale et de la crise économique des années 1930. Ce modèle est néanmoins critiquable, en particulier en raison des hypothèses qui le fondent.
Premièrement, le modèle repose sur l'hypothèse que la propension à épargner est stable, et ne dépend pas des autres variables du modèle. Or, sur le long terme, la propension à épargner d'une économie varie. Cela a conduit les post-keynesiens de Cambridge (Joan Robinson et Nicholas Kaldor, en particulier) à élaborer à partir du modèle de Harrod-Domar et de l'œuvre de Michał Kalecki, des modèles de croissance où l'épargne joue le rôle de variable d'ajustement.
D'autre part, le modèle repose sur l'hypothèse fondamentale que le travail et le capital ne sont pas substituables : toute augmentation de la production implique un accroissement proportionnel du capital et de la main d'œuvre. La fonction de production est ainsi supposée être à proportion de facteurs fixe. Les ratio K/Y (coefficient de capital) et K/L sont donc stables. Or, cette hypothèse est difficile à soutenir pour la longue période, où se situe le modèle3. Sur longue période, les entrepreneurs peuvent, par exemple, substituer de la main d'œuvre au capital, si le prix relatif de la main d'œuvre baisse par rapport à celui du capital.
Comme le note Robert Solow, si le ratio K/Y demeurait constant, « l'histoire du capitalisme aurait été bien plus erratique qu'elle ne l'a été ». En lissant les fluctuations, le trend de longue période est loin de la « croissance sur le fil du rasoir » que suggère le modèle de Harrod Domar. Cela a conduit Robert Solow à développer son modèle avec une fonction de production où capital et travail sont substituables : si le coefficient de capital est variable, alors la croissance peut être durable. C'est ce modèle qui fait aujourd'hui encore référence en science économique, donnant au modèle de Harrod-Domar une valeur avant tout historique4.
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voir d'autres détails : le site :
Modèle de Harrod-Domar — Wikipédia
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